Lettre de suite d'inspection de cabinet dentaire

Région Sud est

Attention , il faut toujours se renseigner bien des statuts des dentistes dans les cabinets libéraux.
Certains travaillent en tant que collaborateur salariés dans ces cabinets libéraux. Ceux là seront suivi par le MDT .
Ou encore des cabinets en Selarl où le praticien apparaît en salarié...

Exact.
Mais j'ai le cas de chirurgiens ou anesthésistes libéraux qui ont des suivis MDT effectifs.

Oui ce sont des praticien qui dépendent d'une convention de personnel hospitalier .
Alors qu'un praticien libéraux qui ne bosse pas dans un hôpital ne dépends pas d'une MDT prévue par la Convention collective de la profession.
D'ailleurs , il suffit de tel à la MDT pro leur demander s'il prennent les adhésions des praticiens libéraux pour le suivi médical , ils vous répondront que non

je précise que le document ne m'a pas été adressé à moi, mais au chef d'établissement qui devait donc "confirmer" le suivi médical indiqué par sa signature

en même temps , quel est le moyen dont dispose l'employeur pour refuser ou modifier celui ci

il barre sur le document ?

les choses sont présentées pour être approuvées , pas discutées

J'ai déjà donné la marche à suivre dans un message précédent ici dans la sujet . Voir message rédige à 2h58

À 3h58 . Excusez moi de cette erreur de frappe

Bonsoir,

Une simple précision

"Deux motifs de classement en SMR du personnel : risques biologiques et radiologiques."(X-man )

J'ai eu l'occasion de rencontrer plusieurs médecins du W (après envoi des FEI) dans le cadre de mon activité PCR au cabinet des praticiens suivis; j'ai rempli avec eux et le praticien la "Fiche d'entreprise"( articles D4624-37 à D4624-41 du Code du Travail ).

Il apparait dans celle ci d'autres risques pouvant impliquer le classement en SMR p.e. les risques chimiques étiquetés R40 et consorts sur les "fiches de sécurité" des produits utilisés (méthacrylates ...).
Ces risques doivent apparaitre sur la FEI.

Concernant les risques d'expositions des chirurgiens dentistes (et des travailleurs exposés); je présente en formation les tableaux (mis sur le site par Kloug) de "Dépassement des limites d'expositions 2009" et des "Évolution de doses collectives, par domaines d'activité, de 1996 à 2009". Ils sont suffisamment explicites pour faire prendre conscience aux personnels formés (pas seulement les praticiens) le but de notre mission.

Pyrénéen

Bonsoir Pyrénées,
Effectivement il y a aussi les risques chimiques.
Mais on n'utilise pas ce genre de produits étiquetés .
Il n' y a presque plus de cabinet ayant dans ses murs un labo de prothèse. Bon nombre de ces produits ont donc disparus de nos cabinets.
D'autre part certains produits utilisés dans les anciennes techniques de soins
Comme l'arsenic , sont interdits depuis longtemps depuis par l'UE

Ça a coupe et envoyé avec mon iPhone par erreur.
Quant aux des adhésifs , on travaille avec des gants , des masques et lunettes antiprojection.
On utilise des quantités infimes qui se polymérisent avant d'entrer en contact avec les muqueuses.
Notre combat syndical est de montrer que des précautions sont prise et de ce fait, il n'y à pas de risques avérés .
Si on les écoutait tous. , on est les empoisonneurs.
Tous les produits qu 'on met dans la bouche des patients ne restent en état actif .

X man a écrit:

Oui ce sont des praticien qui dépendent d'une convention de personnel hospitalier .
Alors qu'un praticien libéraux qui ne bosse pas dans un hôpital ne dépends pas d'une MDT prévue par la Convention collective de la profession.
D'ailleurs , il suffit de tel à la MDT pro leur demander s'il prennent les adhésions des praticiens libéraux pour le suivi médical , ils vous répondront que non

Si, si je confirme qu'il y a des services inter-entreprises de médecine du travail qui prennent les adhésions de praticiens libéraux. Certains (attention pas tous ! heureusement) d'ailleurs limitent leur 'suivi' à l'encaissement du chèque.

L'ASN vient de publier de nouvelles lettres de suite de cabinet dentaire à l'issue d'une campagne de contrôle en Rhône-Alpes.
Le moins que l'on puisse dire c'est que nombre des cabinets visités n'ont pas encore désigné de PCR (contrôles ciblés?); et sans PCR le reste ne suit pas.
Une fois de plus l'ASN demande la présence d'EPI et ce sans justification.
La lecture et la détention du "Guide des indications et des procédures
des examens radiologiques en odontostomatologie."est "fortement" conseillé.
Les résultats sont communiqués aux syndicats dentaires, il sera difficile de justifier une prise en compte d'une réflexion radioprotectioniste aux vues des lettres produites.

Pyrénéen/