Tout est affaire d'interprétation apparemment :
Contrôle en continu ou au moins mensuel
Un dosimètre passif qu'il soit mensuel ou trimestrielle mesure en continu une dose ( même s'il est lu avec une certaine périodicité).
Par contre il ne permet pas de vérifier la limite de 80 µSv sur un mois de l'arrêté zonage si il est relevé de façon trimestrielle .
D'où la réponse d'une ASN local :
Un dosi passif trimestrielle peut servir de dosimètre d'ambiance à un poste de travail mais pas d'outil permettant au chef d'établissement de s'assurer de la limite de ses zones réglementées.
Au final cet approche me semble assez logique
De plus un dosimètre mensuel peut permettre de s'apercevoir plus vite d'une très forte augmentation du débit de dose mais sera beaucoup moins précis pour en apercevoir une petite .
Tout dépend si on cherche à voir rapidement mais avec une faible précision ou être plus précis mais s'en apercevoir plus tard .
C'est un peu comme si plus on pédale moins vite on accélere de moins en moins fort
Pour redevenir sérieux rien n'empêche d'utilisr à bon escient ses dosimétres d'ambiances de les placer à des points judicieux qui peuvent changer et d'en avoir des mensuels et des trimestrielles en fonction de l'usage et de ce que l'on cherche à prouver .
Dosi pour garantir les zones = mensuelles obligatoires
Dosi pour évaluer l'exposition annuelle du personnel = peut être trimestrielle
Ca me parait cohérent