En médecine nucléaire, j'avais à disposition un AS3000, j'ai aussi eu un PA2000. Pour le choix du filtres les catalogues des fournisseurs détaillent les propriétés des filtres en fonction de la granulométrie des aérosols ou du gaz que vous cherchez à prélever.
Pour les modalités, à ma connaissance il n'y a pas de débit minimum, je pense plutôt qu'il faut dimensionner votre prélèvement en fonction de l'activité que vos appareils de mesure pourront détecter et des capacité de résistance du filtre sur lequel vous allez prélever (avoir une activité suffisante sur le filtre sans le détériorer).
du coup si vous utilisez un aspirateur et un anémomètre basiquement ça pourra faire la même chose qu'un préleveur d'air, même si de prime abord ça parait bien plus artisanal
. Attention à l'effet de circulation d'air qu'un aspirateur va créer dans le local et aussi au fait que vous allez probablement contaminer celui-ci...
Remarque sur les méthodes artisanal : dans mon premier Labo, on s'était bien foutu de ma gueule avec mon anémomètre à 15 balles quand j'avais réalisé une étude du taux de renouvellement d'air dans chaque pièces, mes résultats étaient au final les mêmes que le prestataire accrédité qui passa un an plus tard pour la même chose...
un petit complément :
une présentation de 2014 à la SFRP sur le sujetune thèse de 2012 sur le sujet des aérosols en MNsi un klown spécialiste de ces thématiques veut compléter ou corriger une bêtise que j'aurais écrite, je suis preneur également !
BTGM