Voila je vais vous faire un petit résumé des premiers résultats concernant cette étude sur l'exposition des conjoint :
Premièrement j'ai du créer un questionnaire pour coller au mieux avec les résultat en posant plein de question du style la superficie de la maison les type de mur, et j'ai étudier aussi le coté psycho-social et leur niveau intelectuel pour savoir ce que l'on pouvais trouver comme résultat si il avait plus tendance a ce protéger s'il était plus cultiver... Ensuite j'ai établit un protocole horaire sous forme de tableau qu'il devai remplir s'il était a proximité combien de temps
Pour commencer tous les patients choisis pour l’étude ont reçu une activité de 3,7
GBq. Pour des questions de confidentialité et vu que l'étude n'étant pas terminer je ne mettrais aucun résultat.
Remarque : Les débits d’équivalent de dose de sortie à 1m sont patient-dépendant car ils
varient en fonction de l’élimination urinaire du patient (s’il boit beaucoup d’eau, son
élimination naturelle et la nature du traitement)
- Sur les 13 patients pour lesquels nous avons des résultats, pour 54% d’entre eux
l’exposition du conjoint à été inférieur à 50 μSv, 15% ont eu une exposition de 50 μSv
soit le seuil minimum de détection.
En conclusion ces patients ont bien respecté les recommandations données par l’hôpital , de plus on s’aperçoit que leur exposition est très largement inférieure à la limite réglementaire.
- Le patient n°3 et son conjoint ont dormi la 3 ème nuit ensemble alors que la recommandation est de ne pas dormir les 3 jours qui suivent la sortie. On s’aperçoit au vu des résultats que même avec un débit d’équivalent de dose faible le fait de
dormir la 3ème nuit ensemble a engendré une dose de 670 μSv soit presque les ¾ de l’exposition annuelle établit pour le public.
- Concernant les patients n°10, 12 et 13 ce sont des patients ayant un débit
d’équivalent de dose relativement élevé et qui sont restés soit souvent à proximité du conjoint (1-3 mètre) soit ont passé beaucoup de temps ensemble lors des repas. On constate alors que même si les recommandations ne sont pas scrupuleusement respectées, l’exposition du conjoint n’atteint pas ¼ de l’exposition annuelle pour le public.
Premièrement on remarque que pour 70% des cas ayant bien respectés les recommandations fourni par l’hôpital la dose reçue par le conjoint (≤ 50 μSv) se révèle très inférieure à la limite réglementaire annuelle pour le public (1mSv). Du coté de la radioprotection patient-conjoint conformément au résultat on a constaté que les recommandations fournies par l’hôpital sont très suffisante car même si certains patients font des écarts, les doses reçues par leur conjoint ne dépassent pas le ¼ de l’exposition annuelle.
Cependant dans ces recommandations le nombre de nuit à ne pas dormir avec son conjoint est fixé à 3 jours, or on s’est aperçu que lorsque le patient avait dormi la 3ème nuit avec son conjoint cela a entrainé une dose représentant les ¾ de l’exposition annuelle. Par conséquent j'ai émis l'hypothèse qu’il faudrait prolonger le nombre de nuit à ne pas dormir avec le patient le faisant passer de 3 jours à 5 jours minimum dans un but préventif. Cependant cela reste a confirmer par de futurs résultats
Enfin il faut savoir que les résultats trouvés comportent une certaine incertitude car on ne peut pas contrôlé si les dosimètres ont bien été portés ou si les conjoints ont bien tous retranscrits les données sur le questionnaire.