Bonjour Balda
Voici quelques observations en fonction de ton tableau :
A part le n°10 tous les opérateurs ont une dosimétrie opérationnelle supérieure à la dosimétrie passive ce qui, en fonction des seuils, pourrait être logique.
Pour tous les opérateurs (sauf les opérateurs 4, 7 et
la dosimétrie passive est supérieure à 500 µSv. Ce qui fait en moyenne 125 µSv par trimestre, à condition que l'activité soit uniforme dans l'année, ce qui n'est peut-être pas le cas les mois d'été. Ce qui fait quand même des valeurs au-dessus de la limite de détection pour le dosimètre passif (50 µSv).
Et il devrait y avoir concordance entre dosimétrie passive et opérationnelle, en tout cas moins de 20 % d'écart. Ce qui n'est pas le cas des opérateurs 1, 2, 3, 6, 7, 9 et 11.
C'est donc sur la sensibilité en énergie et en réponse angulaire qu'on peut s'interroger.
Tu dis scintigraphie : Technétium-99m ? Fluor-18 ? Thallium-201 ? autres ?
La réponse en énergie pourrait se trouver là.
Sur le positionnement, je viens d'avoir une expertise intéressante. En cardiologie interventionnelle le dosimètre passif est posté plus près du milieu du corps que le dosimètre électronique. Et comme certaines chasubles (équipement de protection individuelle) sont échancrés, il y a eu des doses importantes (relativement bien entendu) sur les dosimètres électroniques et rien sur les dosimètres passifs. Cela rejoins la réponse angulaire.
A voir maintenant si les autres klowns du domaine médical ont observé les mêmes choses.
KLOUG