Merci pour cette réponse rapide,
Je me suis mal exprimé, les isotopes de l'uranium pose problème car d'après la fiche de radioprotection, ils emettent alpha, beta et gamma. Le risque principal est le risque interne (alpha à plus de 5MeV) avec l'inhalation des poussières.
Le contaminamètre ne voit que ces gamma (min 610KeV 22% pour E1) mais me donne aucune mesure en débit de dose. Un graphique comparant c/s et µS/h pour l'uranium naturel trouvé sur le site de la CRIIRAD m'a permis d'extrapoler un graphique, mais ca ne sera qu'une estimation.
l'uranium naturel est dans des flacons verre jusqu'a 1kg . Ces produits sont anciens avec peu d'informations sur les flacons, le pictogramme T+ est même absent pour certains d'entre eux.
La joie de travailler avec des déchets ^^
Je vais donc m'orienter vers un radiamètre avec une sonde Beta. Pour les découvertes de sources non scéllées tel que l'uranium naturel , elles resteront sagement dans leur flacon à l'abris avant évacuation par l'Andra. A voir si l'achat d'une sonde Alpha ne dépasse pas le budget.