Et en conséquence de son raisonnement :
- en cas par exemple de scinti pulmonaire, il espère très fort que le radiopharmaceutique aura la bonté de rester dans le patient et ne sera jamais exhalé dans la pièce ?
- il espère aussi qu'aucun patient n'excrète jamais (sueur, saignement, vomi, pipi et j'en passe) ?
- enfin, il met en place un vestiaire, ubn contrôleur main-pieds et un sas à l'entrée de chaque salle pour être sûr que personne ne rentre avec une contamination des sabots, vêtements, brancards, matériels, .. ?
-> Un service de médecine nucléaire (hors la partie secrétariat et bureau) c'est un endroit où rentre de la radioactivité sous forme non scellée, on peut en trouver un peu partout, et si on fait des contrôles périodiques et rigoureux, on en trouve de temps en temps et notamment dans les salle de gamma-caméra. Ce n'est pas grave tant que les précautions de radioprotection sont respectées. Le renouvellement d'air en fait partie.
-> Tu ne regardes pas s'il a bien calculé l'épaisseur de plancher béton pour porter la gamma-caméra, qu'il te laisse faire sur ta partie. Ou alors qu'il accepte que tu contrôles sa partie.
-> S'il est prêt à jouer le refus d'ouverture du service juste pour ne pas avoir mis le renouvellement d'air, ça m'étonnerait que le directeur d'établissement soit aussi joueur que lui.