Bonjour à tous merci pour vos réponses précédentes.
Je suis à nouveau confronté à une question de radioprotection :
J’ai un montage expérimental constitué d’une source à l’intérieur d’une enceinte d’atténuation supposée infinie, excepté au niveau d’un bouchon arrière. Mais ce bouchon à l’arrière, d’atténuation finie (de l’acier par exemple), possède des cavités, permettant de passer des fils d’instrumentation et pour y loger un presse étoupe.
Si je fais un calcul d’atténuation – en tenant compte de la distance à la source (loi en 1/d²) et de l’épaisseur d’acier traversée sur le chemin de rayons élémentaires (loi en exponentielle décroissante) - , au niveau du point A, à la sortie du bouchon, à l’extérieur, je trouve un débits de dose de 50 µS/h.
J’ai donc un point « chaud » mais de surface petite ou très petite.
Par ailleurs si je place un Dosimètre à l’arrière du bouchon en A, au contact (mis à part l’éloignement introduit par le capot du dosimètre) j’obtient 0.5 µS/h, donc une dose publique sans danger pour la santé.
Ma question est quelle est la dangerosité d’un tel point chaud de surface cependant très petite, au niveau de la santé publique ? Et au niveau de la radioprotection règlementaire qu’en est -il , en sachant que lorsque je place mon dosimètre en A je ne le détecte pas et je reste en dessous de 0.6 µS/h d’une zone publique ?