- Scully a écrit:
- En fait, je ne suis pas opposée au fait de prendre en compte le diffusé mais comme Amak, je cherche le parapluie pour les jours d'inspection ...
+1
En céphalométrie, l'absorption des différents types de capteurs, celle d'une cassette ERLM ou d'une cassette écran-film analogique, etc., les variations à l'émission avec la tension utilisée, la filtration, le diamètre du cône (quand il existe), l'usage des diaphragmes, déterminent une multitude de cas de figures vis à vis de l'atténuation du primaire.
On peut passer d'une situation de rayonnement résiduel nul à un primaire très significatif quand RIEN n'intercepte le faisceau (ni la tête, ni le récepteur). Le contrôle de la zone attenante est parlant si le plombage est insuffisant.
J'ai vu plusieurs fois le cas en téléradiographie avec le marquage du centreur lumineux masqué par un diamantor monté sur un tube mobile ou même dédié et les diaphragmes restaient grand ouverts.
Même chose avec la fâcheuse tendance à ne pas diaphragmer en cas d'usage d'ERLM pour ne pas influer sur le post traitement (c'est souvent le cas en cabinet de radiologie).
Bonne soirée.
Dom