Bonjour,
Je vous soumets un petit problème au cas ou cela arriverait...
Un établissement possède un service utilisant des générateurs X avec du personnel ayant le CAMARI.
On y trouve aussi du petit nucléaire diffus en sources scellées (dfci, tubes électroniques...) et non scellées (tritium) dont les activités sont en deçà du seuil réglementaire.Par ailleurs, les études de poste faites par la PCR interne n'ont pas définies de zones réglementées dans l'établissement.
Un dossier d'autorisation a été initié par la PCR et transmis à l'ASN juste avant sa mutation définitive.
L’établissement n'a donc plus de PCR dans l'immédiat et possède en interne différents services qui pourraient, à mon avis, intervenir en cas d'incident.
Prenons l'exemple d'un bris de tube électronique contenant du NI63 -dans ce cas les services internes à l'établissement à contacter dans l'urgence sont la PCR, le service médical (médecins, infirmiers...) , le bureau maitrise des risques et éventuellement les pompiers.
Je me pose alors plusieurs questions:
1-Est-ce que l'établissement peut rester longtemps sans PCR? Juste le temps de désigner et de former une autre personne?
Sachant qu' au vu des appareils détenus (générateurs X) la présence d'une PCR est obligatoire.
2-Il y a t-il d'autres organismes externes à l'établissement à contacter en cas de situation d'urgence ou de gestion post-accidentelle? Je pense notamment à l'ASN, l'IRSN...
3-Faut-il mentionner les coordonnées de ces organismes externes sur les fiches consignes ou alors se restreindre à ne mentionner que les coordonnées du service médical interne? Ce dernier assurant ensuite le relai avec l'ASN.
Merci pour votre contribution.